Skridaozadennoù gallek
5VED MELEN
L'ILE DE RE

rêvait de raies et dorait au soleil pendant que sur le sable, les dunes, les fleurs et les pins, son grand-père philatéliste et ses ânes à piles (une réussite ! ) dorait des raies bien salées. Rémi et ses raies, il en riait.
Loeiza
---------------------------------
5VED GLAS
PARIS

Léo
-------------------------------------
PEVARE GLAS
À Paris, la grande capitale du roi papillon qui ne connaît pas le paradis de la Tour Eiffel, les Parisiens rigolos.Les parents connus partent en métro pour parler aux passionnés de casinos en patchwork et de patchouli pour rire de leur ridicule. À Paris, les passants papillonnent dans les boutiques de l'avenue des Champs-Elysées.
Sterenn
LA MER (Penhors)

but la tasse en surfant dans la vague, c'était salé et amer. Ma mère prit un amer, navigua et fit la commère, elle remercia Homère le maire, pêcha un poisson : un merlu. Voilà pour le sommaire d'un été éphémère.
--------------------------------------
TREDE KLAS
TOULOUSE

Yuna
RENNES

Nollaig
LA BAULE
l'argent, les robes de bal. Les touristes en shorts et bobs, n'ont pas de bol, ils jouent au
football. Sur la plage, l'eau et le sable jouent à la balle. Le vent ? C'est le goal.
Louise
Brasparts, c'est le matin, du haut du mont St-Michel, mon regard au loin sur les Monts d'Arrée, le Yeun Elez, des cauchemars lors d'épais brouillards. A mes pieds, un lézard.
Là, quelques hangars, Ti Bleiz et ses renards, plus loin, la Ferme desartisans et ses korrigans. Quelque part, la Noce de pierres.
Direction le bourg : le Cercle de pierre des Druides, puis le bar, un Ricard, quelques racontars.
Vers midi un quart, la fête Pommes, Miel, Champignons, un chinchard, un bout de far.
Plus tard, chez Goavec-Pitrey, les compagnons tailleurs de pierres, avant leur largage d'amarres vers le Pont du Gard.
Le soir, la ferme de Gwern an Dour, ses fêtards, ses couche-tard, ses lève-tard, ses flemmards anar.
Un coup de barre.
Pierre Morvan