Studiet e oa bet ar pezh-c’hoari « Antigone » gant ar re drede en trede trimiziad e galleg. Skrivet gant Sophocle, « Antigone » a zo bet adskrivet gant Jean Anouilh da vare an Eil Brezel-bed. Arouez ar stourm an hini eo Antigone.

Neuze, poent e oa d’ar skolajidi lakaat e pleustr ul lodenn deus an traoù o doa desket ar bloaz-mañ : arguziñ war ar prim en ur zielfenniñ buan an titouroù nevez. Ijinet o deus « Procez Antigone » dre ma ne doa ket deus outañ er pezh-c’hoari.

Ha deuet e oa brav ganto : begadoù, arguzennoù, treuzwiskoù ha zoken dañvez alvokadezed ha barnerez en o-zouez. Gourc’hemennoù dezho !

 

      Lors du troisième trimestre, les classes de troisième ont étudié « Antigone » en français. Ecrite à l’origine par le dramaturge grec Sophocle, elle fut modernisée par Jean Anouilh et jouée sous l’occupation lors de la seconde guerre mondiale. Antigone symbolise la résistance à travers les âges.

Cette étude fut l’occasion pour les collégiens/nnes de mettre à profit une partie de leurs nouvelles connaissances : argumenter sur le vif, en analysant rapidement les derniers renseignements. Ils ont alors mis en scène le procès d’Antigone, celui-ci n’existant pas.
Et ce fut une véritable réussite : réparties, arguments et déguisements. Et même des révélations, avec parmi eux, de vraies graines d’avocates et de juge ! Félicitations !

 

Prosez Antigone
Prosez Antigone
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